mardi 1 juin 2010

Sex & the City 2...

Grace à une invitation de presse que m’ a accordé mon amie Fernanda, j’ai eu le privilège de voir ce soir le film "Sex & the City 2", deus tours avant la sortie à Buenos Aires et Quatre seulement avant New York.
Je vous assure que je n’aurais pas manqué cette occasion, même si l’homme le plus beau de la planète m’aurait invité pour sortir ….¡!!
Et comme je venais d’un autre cocktail, je suis parti habillé très «à la Carrie Bradshaw:" manteau satiné, robe mini, pas de bas (11°C la nuit) et chaussures Louboutin de 12 cms... bien comme elle.
J’étais si contente de revoir mes quatre amies, avec lesquelles j’avais partagé autant des nuits de ma vie regardant les chapitre des six saisons...  et certains je les ai vu même deux fois!!!
Bon, quand le film commence et on voit NYC, ses gratte-ciels, ses taxis et “les filles" qui marchent dans la ville comme des amazones modernes, tu’ as déjà des frissons,... nous sommes ainsi les femmes!!!
C’est que cette série de réussite énorme nous a capturé pendant des années avec le el déploiement du plus profond de l’essence féminine, mais aussi de la frivolité, qui est bien notre, je n’ai jamais connu une femme a qui cela n’as pas plu....
Les chaussures, les robes, les problèmes amoureux, les fiancés, les désirs de famille et son contraire, la maternité et son contraire, la fidélité et son contraire...
Mais, dans cette partie de l’histoire... les choses ont changé. Inexplicablement "les filles" ont vieilli plus que d’habitude... ou sinon que quelqu’un m’explique pour quoi Carrie a des rides (normal, dirait quelqu’un, le temps passe..) et à Mr. Big, aujourd’hui John James Preston, même pas un jour de plus!!! Il est plus lise et beau que jamais.
Pourquoi la joyeuse et libre sexualité de Samantha est ici  transformée dans les banals égarements d‘une femme en ménopause. La fraicheur de Charlotte, dans les plaintes d’une femme qui ressemble à une poupée d’un autre temps.
Miranda est la seule qui, n’ayant pas été ni trop belle, ni trop sexy, porte avec dignité le passage des années.
Et je répète, i lest injuste qu’Aidan soit toujours égal, Stanford, Anthony et même les maris de Charlotte et de Miranda aussi...
La partie d’Abou Dhabi est pittoresque, avec les souks (que, comme nous le savons, ont en réalité ceux de Marrakech), les luxes arabes, les repas incroyables, les paysages du désert et des dunes... de quoi couper la respiration.
La morale de l’histoire c’est que tout ce qu’on désire s’obtient, finalement ne nous donne pas la même satisfaction que nous attendions... Garde avec ce que vous souhaitez, car vous allez l’obtenir, dit un vieux proverbe. 
Aussi les films (aussi un peu kitsch dans le domaine qui nous intéresse: la mode), il y’a un ou deux moments mémorables: le show de Liza Minelli, actrice invitée, à ne pas rater, pleine d’énergie et du talent. La petite participation de Pénélope Cruz, bellissime et séduisante.
Mes robes de Carrie préférées: celle de la fin, verte et longue de Lanvin, une Halston Heritage rose d’une seule épaule, une cardigan blanc brodé. Le reste un peu trop brillant et y caricaturale Peut être cela se fait volontairement et peut être je ne l’ai pas compris.
Mais il faut aller la voir, il ne faut pas la rater, même si c’est pour la critiquer ensuite...
Moi, personnellement, je continuerais d’aller voir le prochaine versions 3, 4, 5, 6... si un jour elles existent...

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